Le dévoreur de Pocky |
Informations † Damon Clarendon Scorpion de 18 ans † 24 Octobre 1996 † Tokyo † Lycéen † LCF † CERCLE SORTIARUS |
Caractère Damon dispose de 4 visages différents, * L’amant : Tantôt joueur, tantôt rebelle, il reste toujours avec un air supérieur et maître de la situation avec sa douce et tendre. Il peut être particulièrement froid et distant devant d’autres personnes même si elle est là, mais dès qu’ils sortent juste eux deux, il se plait à lui prendre la main, a parfois lui toucher une mèche de cheveux quand elle e s’en rend pas compte, ou encore à l’embrasser sur le front. Il sera tendre, doux et attentionné avec elle. Elle est sa princesse… que dis-je, non, elle est sa reine ! Il se voit comme le seigneur des ténèbres qui a attrapé la seule reine qui en vaut le coup, et il ne veut pas la perdre, pour rien au monde. On ne le verra jamais se disputer avec elle, il pourra la taquiner, mais ça ne sera jamais vraiment sincère. Elle est la seule personne qui jusque là à échappé à sa rancune. Et elle est la seule pour qui il peut faire des efforts pour contenir la bête qui est en lui. Une chance d’ailleurs qu’elle ne soit pas au courant d’a quel point il peut se lâcher. Il est d’avantage dans l’idée de passer du temps avec elle et textoter que de simplement lui offrir des cadeaux. Note étrange : Il n’a jamais couché avec Lazuli, il peut lui avoir fait des massages et préliminaire pour la mettre très à l’aise jusqu’à jouir, mais il n’alla jamais jusqu’à prendre sa virginité, en tout cas pas jusqu’à se jour ! * Le bosseur : Personne ne pourrait le reconnaître, avec ses lentilles de contacts pour donner l’impression que ses yeux sont bruns, des lunettes de lecture, il est dans ses moments là noyés sous la paperasse à travailler dur. N’ayant pas la moindre richesse, il est parfois chargé de vérifier la comptabilité de son ami plus aisé pour être logé et nourrit. On peut voir Damon en mode bosseur aussi quand il choisit de se mettre à travailler pendant 15 jours non-stop pour apprendre tout les cours de l’année qu’il n’avait alors pas le moins du monde travaillé avec sérieux. * Le chat : Qu’il soit sur le canapé ou sur le sol, quand il pas se en mode flemmard, il n’y a pas moyen de le faire changer d’avis. Il se mettra alors à devenir capricieux et exigeant. Se comportant comme un roi de flemmardise et du monde. Il déteste qu’on le touche dans ses moments là, sauf quand il s’ait de sa douce bien aimé qui peut alors la papouiller ou rester contre lui, du moins jusqu'à se qu’il prenne mal une parole ou qu’il veuille un truc sans raison. Quand il est en mode chat, il devient plus simple d’avoir son attention et sa gentillesse à partir du moment qu’il à a manger. Offrez-lui un gâteau quand il est dans un canapé et il passera naturellement en mode chat ! Attention, chez lui les dessert c’est sacré, d’ailleurs c’est la seule chose matérielle qui peut vaguement avoir de l’intérêt, sinon il n’a que faire de l’argent ou des pierres précieuses (sauf peut être pour acheter des trucs à Lazuli par surprise). Et pour finir… * Le sanguinaire : La nuit vient à conquérir une nouvelle fois les rues de Londres. Dans une ruelle marchande, une jeune femme marche, ses talon rencontrant le sol à chaque pas font écho jusqu’aux ruelles les plus sombres. A chacun des son déhanchement, ses cheveux blond ondulés virevoltent dans le vent, du moins… jusqu'à se que le visage de celle-ci soit attrapé et tirés de force dans une ruelle. Jetée à terre, la jeune femme encore sous le choc reste les yeux ébahis face aux trois hommes qui se dressent devant elle, un petit rire gras se fait entendre. « On va bien s’amuser ! » Les hommes commencent à s’approcher de plus en plus d’elle, celle-ci commence à crier, son hurlement de peur et de supplice vite étouffé par les mains de l’un d’entre eux. Non loin, un peu plus profondément dans la ruelle sombre, là où les ombres ne laisse aucune lumière s’échapper, la voix d’un jeune homme hautain résonne, « Dites, ça vous gênerez de la mettre en veilleuse ? J’aimerais éviter de voir débarouler les flics ! » Deux des hommes tiennent la jeune femme en silence regardant méfiant vers les ombres, mais l’autre se tourne vers la voix hautaine, « Quoi ?! Qu’est-ce tu veux ?! Tu vois pas qu’on est occupé ? » Un murmure à peine perspectible, « On dit… 'tu NE vois pas que nous sommes occupés' ! » ,« Parle plus fort on t’entend pas ! Puis montre toi, si tu veux pas des flics pour planquer ta came t’as qu’a te barrer ! » « Tsss… Et merde j’en ai plus… » Une boite de pocky au chocolat noir et noisette est jeté au sol, une personne semble se redresser dans les ténèbres, « Je n'ai pas de came à vendre et je crois que tu n’as pas bien compris pourquoi je ne suis pas impatient de voir arriver la police. Pourquoi… j’ai besoin de plus de temps… » L’homme commence à sortir des ombres, une main dans la poche, son autre main devant son visage remettant ses cheveux en arrières avant d’aller se laisser tomber. « En même temps… Si vous avez besoin d’être à trois pour vous ‘occuper’ de satisfaire une gonzesse aussi... c’est que vous ne pouvez comprendre que vous êtes en retard sur le programme de la soirée bande de dégénérés impuissants ! » « T’as dit quoi batard ? » Il ne reste plus qu’un type pour tenir la jeune femme, les deux autres se tournent vers l’homme hautain, laissant bien entendre qu’ils vont lui donner une leçon. Les cheveux de l’homme retombent face à son visage tandis que ses yeux s’ouvrent à la faible lumière diaphane de la ruelle. Ses yeux sont d’un rouge sang, son regard est celui d’un homme froid, et concentré. Un large sourire malsain et prédateur dévoilant sa satisfaction face à la bêtise de ses proies qui s’approchent. Les deux avancent, le prédateur esquive l’attaque du premier, et assène en un bond, un coup de genou en plein dans le foie du second qui se retrouve à quatre pattes à cracher son dîner. Le premier fait un pat en arrière et sort un couteau papillon qu’il ouvre difficilement, « Tu vas prendre cher batard » Le prédateur semble comme soudainement excité, et se jette sur sa proie, « Crétin... » Il esquive l’attaque de sa proie avec une grande facilité. « Ça ne sert à rien… » Il met un coup de pied rotatif dans le visage de sa proie. « D’avoir des griffes… » L’attaque de sa proie sonnée est moins précise, il lui tort le poignet et prends possession de son arme, « Si on ne sait pas s’en servir ! » Puis il saute contre un mur, pour s’appuyer dessus et sauter une nouvelle fois, arrivant derrière sa proie, il se réception sur ses genoux tout en donnant un coup nette dans le muscle du bas des mollets de sa cible sectionnant douloureusement l’équilibre de sa viande. L’homme tombe en hurlant, et après avoir palis, tente de ramper pour fuir jusqu'à tomber dans les pommes sous le choc. « Maintenant on va jouer à jack à dit… à dit…» Le prédateur se relève, celui qui était en train de déglutir son dîner, tenta de se relevé, mais son visage fut réceptionné par la main du prédateur qui lui écrasa contre le mur de pierre avec un bruit mat avant de s’effondrer au sol, la bouche et le regard encore ouvert, mais dépourvus de lumière. « Goûte le mur ! » Le troisième homme tenta de quitter en courant la ruelle, mais avant même d’atteindre le dernier mètre, « Attrape le couteau ! » Le couteau se planta dans le dos de l’homme qui s’enfuit comme un dératé. « Tsss… je n’avais même pas dis 'Jack à dit'… » Il haussa les épaules, et alla se poser à côté de la jeune femme terrorisée immobile assise contre le mur. Avec l’élégance d’un majordome, il tendit sa main pour proposer à celle-ci de se relever, celle-ci sembla s’apaiser soudainement et accepta, elle se releva. « Merci ! Merci beaucoup de m’avoir sauvé de ses monstres ! Je peux vous donner de l’argent pour vous remercier si vous voulez ? » Un sourire en coin s’afficha sur le visage de celui-ci, « De ses monstres ? Tu as raison sur un point… » Tandis que le sourire en coin apparait sur les lèvres du jeune homme, une de ses mains la saisit à la gorge pour l’empêcher de crier, « Il y a bien un monstre dans cette ruelle ! Mais tu es bien loin d’avoir été sauvée… » Son autre main commence à soulever la robe de la demoiselle, un sourire d’un animal prêt à manger. Puis… à ce moment là, dans la ruelle résonne un sons étrange et inattendu ! « Ferme là ou je t’égorge avec mes crocs ! » La femme pâlit alors qu’il desserre légèrement sa gorge, sans pour autant la lâcher et décroche son téléphone d’une main. « Bonsoir belle rose bleue. Que puis-je pour toi ? Non non tu ne me dérange pas, j’étais sur le point de gouter un sandwich atroce ! Hum… hum ! Ho fait j’aurais une surprise pour toi bientôt ! Hum hum ! Haha si je te le disais ça ne serait plus une surprise ! Oui ne t’en fais donc pas. Alors dors bien, et rêve de nous. » Son sourire en coin devient plus taquin que prédateur. « Non en fait je me rends compte que je n’ai pas si faim donc ne t’en fais pas. Je viens de me rendre compte que j’ai déjà bien mieux à la maison. Merci et à très vite alors ! Moi aussi je t’aime !» Il raccroche un sourire doux, et relâche son étreinte sur la jeune femme, prenant un air doux, « Ne t’en fais pas ça n’était qu’une blague voyons ! » Puis il assène un puissant coup de poings dans la tempe de cette-ci qui s’effondre immédiatement. Il se dirige vers l’obscurité de la ruelle, ramasse le paquet de Pocky, « Fais chier, faut attendre demain pour en acheter… » Il ramasse son sac en bandoulière noir en cuir dans l’obscurité lointaine de la ruelle et retire ses gants, repartant avec un air satisfait, comme une personne qui sort de son cour de sport. « Bon.. J’espère qu’Evan’s a déjà commandé des pizzas! » |
...Son histoire *Née d'une mère japonaise, mais envoyé chez son père anglais, car il n'était qu'un batard. *4ans, devient pote avec un certain Howard qu'il appel Evan's, ça lance la mode. *7ans: il voit son oncle se faire tuer par son père pour une histoire d'héritage. Il commence les cours d'arts martiaux et le parkour pour décompresser. *A partir de ses 11ans, son père l’emmène avec lui deux ans en Thaïlande pour son travail. Le gamin aura une prof très sexy, mais aussi prof de porno pour lui expliquer comment fonctionne la vie. *Il a 14ans quand il réussit a convaincre son père d'aller rencontrer et retrouver sa mère, ils l'a retrouve dans un commerce de prostitution, elle n'est plus que la preuve que la pureté peut être arrachée et corrompue avec aisance pour de l'argent. Il se retrouve changé à son retour, son père déménage à Londres, là bas il y a beaucoup de bagarre à son Lycée, mais une jeune fille réussit à l'apaiser en l'enlaçant. Elle est tout se qu'il détestait, mais elle devient tout se qu'il aime. *18ans, il déménage secrètement à Londres pour vivre dans la ville où à été transféré sa bien aimé, et va même être dans la même école qu'elle tant il est prêt à tout. POur ça il se fait recruter dans un cercle puissant pour lequel il aura dû faire ses preuves. |
Lazuly Hiddleston △▽ Mon AdoréeQu'elle est belle ma princesse, je n'ai qu'une hâte, c'est de la voir devenir une reine, puis ma déesse. Lauli est mienne, ele m'est dévouée et je lui ai ofert se qui me sert de coeur. Avec elle je suis un peu plus humain, un peu moins démoniaque. Je sais tout d'elle, je peux la lire avec encore plus de simplicité qu'elle n'a à lire un livre. Elle est si parfaite. Elle est tout se que j'ai le plus detesté dans ce monde, mais elle est la seule chose que j'aime plus que tout. Je serais presque près à sacrifier ma vie pour elle! Pour continuer d'être son maître, que dis-je son Dieu, je vais devenir le plus grand de tout les sorciers, même si ça sera dur de combatre ma flem légendaire, je trouverais la force pour elle ! Mais si malgrès tout elle va dans les bras d'un autre, et que je n'ai pas eu le temps de le tuer avant qu'elle ne s'offre à lui, alors je la contemplerais mourir entre mes mains. Car je l'aime! J'aime ma Lazuli plus que ma propre santé mentale ! Oui Lazuli, je t'aime plus que tout !!! |
Evan's △▽ Princesse conscience ! Evan's c'est le seul et le meilleur ami que j'ai, y a pas à dire, il est juste génial. Il a toute les tard du monde, fumeur, alcoolique sur les bord, idéaliste, loyal, attentionné, bref il a eu le grelot lui. Et pourtant je lui fais pas la vie simple à mon esclave, mais bon, on est ami et ça rien ne pourra le defaire. C'est l'un des rare avec qui je ne suis pas revanchard. J'ai jamais compris sa passion pour les animaux et les lentilles de contacts colorés. Il est le type qui fait fondre toutes les nanas mais qui arrivent pas à s'en garder une. Lui et moi on a un point commun très fort, on est possessif. Et quand on veut se venger, j'espère pour nos ennemis qu'on ne va pas bosser ensembles, sinon c'est foutu! Evan's c'est le type qui veut pas qu'on l'appel par son prénom, qui est un putain de prince charmant, mais qui a des goûts de chiottes dépourvus d'ambitions. Haaaaaa mon pote, toi un jour tu vas péter un câble à force de te faire marcher dessus, et ce jour là tu deviendras comme moi ! |
Mme Crypt △▽ Prof barje ******* A FAIRE AVEC DU RP ****** |
Nom prénom △▽ Type de lienDescriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien.Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien.Descriptif du lien. Descriptif du lien.Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. Descriptif du lien. |
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J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.
T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.
Elle était bizarre ma mère.
Elle était cinglée, ma geôlière.
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Dernière édition par Damon Clarendon le Mar 21 Jan - 17:43, édité 1 fois