Soshiro |
Informations Je me présente, je m'appelle SOSHIRO KITSUMARU. Né le 2 mars 1987 à Yokohama (Japon), j'ai actuellement 27 ans. Métier : courtier en valeurs mobilières (couverture) / informateur et messager yakuza (réalité) |
Caractère... Soshiro ne recule devant rien pour monter en grade ou en puissance, il n’a pas peur de prendre des risques. Même s’il n’est pas un monstre, il éprouve un certain plaisir à exercer sa supériorité physique comme culturelle, sur ses amis et ses ennemis. Il a connu la violence durant son enfance, il la prend donc toujours comme une éventualité. Il sait que n’importe qui peut mijoter un sale coup si l’on n’est pas assez vigilant. Il conserve toujours une distance avec les personnes qu’il rencontre, même avec ses partenaires sexuels. Ces derniers ne sont pas très nombreux, mais il préfère généralement être clair avec eux (ou elles selon son humeur) : rien de durable ne ressortira de leur passion temporaire. |
...Physique... Plutôt grand pour un japonais, sa silhouette athlétique est dissimulée sous un costume noir sans marque, avec une veste au col haut. Il porte généralement des gants de cuir noir et des chaussures de ville qui semblent avoir un peu vécu. Ses cheveux mi-long tombent sur son visage, masquant son air taciturne et pensif. Ses yeux brun clair semblent toujours chercher une réponse, et son visage est rasé de près, sans aspérité à part peut-être une ancienne cicatrice à peine visible sur l’arête de son nez. Même si très peu de personnes ont eu la chance de l’apercevoir, un tatouage d’une grande précision parcourt son corps : un dragon jaune et or sur le thème du soleil s’enroule autour de sa jambe gauche tandis qu’un dragon noir et gris sur le thème de la lune s’enroule autour de sa jambe droite. Les deux créatures s’entremêlent dans son dos, où leurs pattes s’opposent, et se font face sur son torse glabre, où leurs gueules vociférantes donnent l’impression qu’ils s’échangent les pires insultes. |
...Son histoire Fils unique d’une famille secondaire de yakuzas, Soshiro était destiné à rejoindre les rangs des nombreux hommes de mains de la mafia japonaise. Il passa son enfance au sein d’un groupe d’une quinzaine de jeunes, faisant les quatre-cent coups ensemble, une méthode fréquemment utilisée pour souder les futures recrues du clan. Cependant, contrairement à ses camarades, il lit beaucoup : les ouvrages proposés par les professeurs, les livres de son père… Ayant de meilleures notes, il éprouve des difficultés à s’intégrer, aussi reste-t-il souvent en arrière, à observer. Il en développe une capacité à interagir avec les autres sans passer par le groupe, ce qui lui permet d’offrir à ses compères de précieuse informations pour des jeunes de leur âge : le numéro de téléphone de la nouvelle, où se réunit le gang rival ou quel jour prévoir une bataille de nourriture à la cantine. Pendant son adolescence, il se découvre une sexualité qui n’est pas partagée par les autres : s’il éprouve du désir envers les filles en général, il ne reste pas non plus indifférent aux formes qui se dévoilent dans les douches des vestiaires masculins. Se croyant d’abord déviant, il fait connaissance avec Izoka, un « civil » de deux ans son aîné, qui lui apprend à découvrir ces sensations parfaitement naturelles. Leur relation dura un an, mais ne résistera pas au départ d’Izoka à l’université pour un parcours « Arts dramatiques », mais les deux jeunes garçons resteront bons amis, conservant entre eux une complicité que Soshiro n’a pas encore réussi à reproduire. Au lycée, le jeune homme continue de se distinguer par ses résultats et son sérieux, et s’attire les foudres de Yamato, le chef du groupe, qui voit en lui une menace intellectuelle à son autorité. Mais Umejiro, le yakuza en charge de surveiller les aspirants, protège Soshiro, au grand dam de son adversaire, qui finit par le provoquer en combat singulier. L’intellectuel du groupe oppose une résistance farouche mais ne fait pas le poids face à l’entraînement et l’expérience de Yamato, et il ne doit sa survie qu’à Umejiro. Soshiro a 16 ans, son sauveur lui laisse un choix : soit il quitte définitivement les yakuzas et sa famille le déshérite, soit il prouve sa valeur et rachète son échec par le yubitsume (ablation de la première phalange du petit doigt), ce qui lui permettra de quitter ce groupe pour des horizons meilleurs au sein du clan. Le choix est dur, reconstruire sa vie à partir de zéro lui semble un instant plus facile que de s’automutiler. Mais la certitude que Yamato le retrouverait et en finirait avec lui le pousse à tenter le coup. Lors de la cérémonie, effectuée rapidement et avec la plus grande sobriété, il commet l’atroce sacrifice et, luttant de toute ses forces pour ne pas se tordre de douleur, tend sa phalange au dirigeant de son clan. En l’acceptant, le puissant dirigeant de la famille Nakamura, lui dit qu’il allait renaître dans une nouvelle voie. Son avenir fut pris en mains par le clan. Il fut envoyé en faculté d’économie pour étudier la finance et on lui fit suivre parallèlement des cours pour s’adapter à la culture occidentale. La famille avait besoin d’agent sur place pour leur obtenir des renseignements, et sa bonne culture générale lui donnait un avantage certain pour passer inaperçu. C’est à cette époque qu’il se fait tatouer ses deux dragons, en symbole du combat qui l’a opposé à son rival et qui lui a permis de trouver sa voie. A 22 ans, il obtint son diplôme et entreprit des stages pour se former sur le terrain. A 26 ans, il fut engagé comme courtier en placements financiers dans l’une des nombreuses petites sociétés-écrans du clan. Sous cette couverture, il commença une double vie à Londres, à proximité de la City, la plus grande place financière d’Europe. Pendant qu’il vend des services financiers à des investisseurs novices en s’appuyant sur la réputation de sérieux des japonais, il renseigne son patron par le biais des brouillons d’une adresse mail sécurisée sur l’ambiance à la City, les faits et gestes de tel personnages influents ou encore des signes d’événements occultes. En effet, en plus de sa formation à la finance et à la négociation, Soshiro a été mis au courant que ce qu’il croyait réel depuis le début n’était qu’un fragment du monde, dit « de l’illusion ». Impatient d’en découvrir davantage, il transmet le peu d’informations qu’il arrive à glaner, bien décidé à en apprendre davantage. Mais pourquoi partager des connaissances aussi incroyables ? A moins qu’il ne soit pas le seul présent sur place ? Il ne faut jamais sous-estimer les patrons yakuzas… |
Mes Défauts et Qualités ★ Qualité : Elégant★ Qualité : Courageux★ Défaut : Addiction (tabac)★ Défaut : Avide de pouvoir.★ Défaut : Sadique |
codage par LaxBilly.
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Dernière édition par Chloée Andersen le Sam 19 Mai - 21:30, édité 1 fois