Présentation :: Parker Eleanore, la gourmande shhhtt! (Secret !)

Renfermée surement à cause de sa peur d’être rejeté pour sa différence ou d’être prise pour une folle, elle n’a jamais ouvert son cœur à autrui et à peur de le faire. Elle a une crainte viscérale envers la réaction des autres. Il n’empêche qu’au fond de son cœur elle espère trouver quelqu’un qui pourrait la comprendre mais elle sait que une fois qu’elle l’aura trouvé elle ne pourra pas s’empêché d’être protectrice envers cette personne qu’elle que soit ses décisions. Eléanore est quelqu’un de très loyal, elle donnerait sa vie pour ceux qu’elle aime et ne pourrait pas s’empêcher de les couvrir de petite attention tout du long de la journée.

Depuis toujours Eléanore est persécuté, pas par des vivants mais par les morts, ne sachant pas si elle était folle malgré les traces de griffure, les bleus et autre blessure, elle ne savait pas si elle s’infligeait elle-même ces douleurs. Petite elle en avait parlé à ses parents et ils avaient choisi d’aller voir un psychologue pour ce problème mais très vite Eléanore pris peur que cette personne la déclare folle, alors elle avait dit à ses parents qu’elle ne faisait plus de cauchemars et qu’elle n’avait plus besoin d’aller voir la pédopsychiatre. Ses parents rassurés ont donc cessé de l’emmener là-bas. C’est seul qu’elle a survécu face aux fantômes qui devenait chaque jour plus violent, plus présent. Elle n’avait pas une minute de répit et chaque jour elle se demandait si elle était folle et si cette nuit elle allait survivre à une nouvelle attaque car elle savait que cela allait arriver sans aucun doute. Et un jour, elle a été attaquée de jours depuis cet instant, elle reste toujours sur le qui-vive, de jour comme de nuit, sans pose, sans relâche car la moindre faiblesse pouvait signifiait sa mort. Son seul défouloir était l’art, surtout la peinture alors quand la peur était trop grande, quand elle avait l’impression d’étouffer sous le stress, quand tout lui semblait perdu elle peignait Elle partait loin de ses problème, de ceux qui ne pourrait la comprendre, de sa folie, de sa crainte et loin de l’oppression tyrannique que les morts lui faisait vivre.